À la campagne, je perçois dans ma couche les mouvements des bœufs. – A la campagne, je perçois dans ma bouche les mouvements des queues. À veaux sensibles, pis délicats. – À peaux sensibles, vits délicats. Allons, ma fille, essuie ça vite et bien. – Allons ma fille, essuie sa bite et viens. Alain Afflelou. – Alain a le flou. Après l'examen, les bachelières livrent leur Kant au feu. – Après l'examen, les bachelières livrent leurs fentes aux queues. Arriver à pied par la Chine – Arrivé à chier par la pine Art mathématique – Ah, matez ma trique Arrêtez, ça me brouille l'écoute – Arrêtez, ça me broute les couilles. Attention le pont va casser . – Attention le con va passer. Attention vous videz vos nouilles sur ma cape ! – Attention vous videz vos couilles sur ma nappe ! Au pensionnat, elles ont toutes un toit pour se doucher. – ...elles ont toute un doigt pour se toucher. Au vu de la vieille icône, l'élection du Grand parait problématique – Au cul de la vieille Yvonne, l'érection du gland parait problématique. Au Zambèze, les filles sont belles et gentilles – Aux Antilles, les filles sont belles et j'en baise Aucun étudiant n'est jamais suffisamment fort pour ce calcul ! – Aucun étudiant n'éjacule suffisamment fort pour se calmer ! Aux sites de Bologne, je préfère les mines de Pompéi. – Aux bites de Sologne, je préfère les pines de mon pays. Avec leur nouveau règlement sur les munitions ils nous en perdent. – Avec leur nouveau règlement sur les punitions, ils nous emmerdent. Avec leurs potes elles font rendre les mines. – Avec leurs mottes, elles font rendre les pines. Avez-vous vu le bond de la crue. – Avez-vous vu le con de la bru. Le choix dans la date – Le doigt dans la chatte Bouchée à la reine – Bourrée à la chaîne Rillettes en fût – Fillettes en rut Tourte de cailles – Courte de taille ou Tarte de couilles Mouton bouillant – Bouton mouillant Le caneton à la russe – Le carton à l'anus Les nouilles cuisant au jus de cane – Les couilles nuisant au cul de Jeanne Riz Condé – Con ridé Jolies tranches dans le mou (la fine ou l'épaisse) – Jolies manches dans le trou (la pine ou les fesses) Escalopes sur une belle salade – Escalade sur une belle salope Goûtez nos farces ! – foutez nos garces Veau de Nice – vit de noce Blanquette de Québec – quéquette de blanc-bec Côtes du cru – crottes du cul Poire à la fine – Foire à la pine Les "glacés du Mans" – Les massés du gland Crème au goût de Mont-Blanc – Crème au bout de mon gland Vieux marc très doux – Vieux dard très mou Barrette de shit. – Charrette de bites. Basculer sur le terrain de l'enquête. – Enculer sur le terrain de basket. Beau Rahan débite des caisses ! – Déborah encaisse des bites Bête du fruit. – Faites du bruit. Bob hésite. – Zob et bite. Bouilleur de cru. – Couilleur de bru. Bruno et son habit. (sans tabou) – Bruni et son nabot. Cabine 13 (treize). – Catherine baise Calculer en 100 leçons. – s'en**** en caleçons Cassoulet. – Eh ! Ça coule. Ce cabot de curé a des nouilles au jus. – Ce nabot de juré a les couilles au cul. Ce couvent de femmes a été fondé par les Saluces. – Ce couvent de femmes a été sondé par les phallus. Ce cric a l'air bon. – Ce brick a l'air con. Ce jeune homme a une mine piteuse. – Ce jeune homme a une pine miteuse. Ce jeune homme est attaché aux bons Cordeliers. – Ce jeune homme est attaché aux cons bordeliers. Ce jeune homme sort de l'École des Mines de Paris. – Ce jeune homme sort de l'École des pines de Marie. Ce n'est pas au pieu qu'est réservé le plaisir de diner. – Ce n'est pas aux dieux qu'est réservé le plaisir de piner. Ce n'est pas tout d'avoir un bon jute, il faut savoir rouir. – Ce n'est pas le tout d'avoir un bon rut, il faut savoir jouir. Ce petit bouillon fait la joie du corps. – Ce petit couillon fait la joie du bord. Ce pichet a une belle mine. – Ce michet a une belle pine. Ce terrible mondain s'insinue entre les riches. – Ce terrible rondin s'insinue entre les miches. Ces garçons ont appris a calculer en cent leçons. – Ces garçons ont appris à enculer sans caleçons. Ces luttes perpétuelles épuisent la malheureuse Russie. – Ces ruts perpétuels épuisent la malheureuse Lucie. Ces vastes fouilles n'ont donné que de vieux coutres. – Ces vastes couilles n'ont donné que de vieux foutres. Ces vastes souilles améliorent le port de votre Calvi. – Ces vastes couilles améliorent le sort de votre pâle vie. C'est le petit vieux qui vend de la serge. – C'est le petit vieux qui sent de la verge. C'est un fâcheux problème de math. – C'est un fameux problème de chatte. C'est un ministre décent. – C'est un sinistre dément. C'est une jolie bête qu'un faucon. – C'est une jolie fête qu'un beau con. Cette crue n'interdit pas d'aller jusqu'à la grotte. – Cette grue n'interdit pas d'aller jusqu'à la crotte. Cette femme a l'allure douteuse. – Cette dame à l'allure fouteuse. Cette fois, j'ai senti le bout de ses galoches. – Cette fois, j'ai senti le gout de ses baloches. Cette lutte est vraiment passive. – Cette pute est vraiment lascive. Ce Messier est fou ! – Ce Fessier est mou ! Chirac, au fond à Bernadette, il préfère les caisses noires. – Chirac, au con à Bernadette, il préfère les fesses noires. Ce sénégalais avait une chopine de cola. – Ce sénégalais avait une pine de chocolat. Clotilde au nom pas irakien et qui n'est pas barbouze sort d'une vilaine partie. – Clotilde au con pas iranien et qui n'est pas une Barbie sort d'une vilaine partouze. Cœur de bouillon. – Beurre de couillon. Combien y a-t-il de feux dans votre Nantes ? – Combien y a-t-il de nœuds dans votre fente ?. Comment peut-on dîner avec si maigre part ! – Comment peut-on piner avec si maigre dard ! Comment vider notre cale sans boucher le trou du fond. – Comment vider notre fale sans boucher le trou du con. Conan le barbare. – Connard le barbant. Couds-la au fond ! – Fout-la au con ! Couper les nouilles au sécateur ! – Couper les couilles au sénateur ! Croix-de-feu. – Froide queue. Curieuses Fouilles – Furieuses Couilles. Daffy Duck. – Daddy fuck. Dans ce siècle de perdition, toutes les jeunes filles doutent de leur foi. – Dans ce siècle de perdition, toutes les jeunes filles foutent de leurs doigts. Dans la nuit, les Terre-Neuviens craignent les proues qui tuent. – Dans la nuit, les Terre-Neuvas craignent les trous qui puent. Défense aux dames patronnesses de quêter sur un pliant. – Défense aux dames patronnesses de péter sur un client. Des colonnes de gauchistes se branchent sur l'Irak. – Des cochonnes de gaullistes se branlent sur Chirac. Des pêcheurs en quête de thon. – Des pêcheurs en tête de con. Des piles de boîtes. – Des poils de bite. Deux carrioles sans mulets. – Deux marioles s'enculaient. Direction et gestion. – Digestion érection. Dommage, j'étais en face de la poutre. – Dommage, j'étais en passe de la foutre. Du moment que j'ai la cote je n'ai pas besoin de ton dû. – Du moment que j'ai la dote, je n'ai pas besoin de ton cul. Dur, dur. – Dur, dur. Écartez la mouche de cette colonne ! – Écartez la moule de cette cochonne ! Échec et mat ! – Et mec et chatte ! Elle a glissé dans la piscine avec son caleçon de satin. – Elle a pissé dans la glycine avec son sale con de catin. Elle appréhende les pistes indigènes. – ...les pines indigestes. Elle a reçu toute la farine sur sa mante. – Elle a reçu toute la marine sur sa fente. Elle cuvait quand on l'a emballée. – Elle bavait quand on l'a enculée. Elle en fait des chichis pour une pauvre mite dans sa botte ! – Elle en fait des chichis pour une pauvre bite dans sa motte ! Elle hésitait à dévoiler son but devant tant de candeur. – Elle hésitait à dévoiler son cul devant tant de bandeurs. Elle m'a menti la sotte ! – Elle m'a senti la motte ! Elle mastique la sotte ! – Elle s'astique la motte ! Elle me met la garce sur le flanc pour me sécher !. – Elle me met sa farce sur le gland pour me lécher ! Elle a été souillée jusque dans la nuque. – Elle a été couillée jusque dans l'anus. Elles sont mordantes, les pipelettes de Pau ! ! ! ! – Elles sont mordantes, les pipes de Paulette ! Emballé par la canicule. – Enculé par la cannibale En dérobant ses valoches, Carla nie que Sarko a un plan de rigueur : « Voyez son plan aguerri. » – En dévorant ses balloches, Carla nie que Sarko a un gland de rippeur. « Voyez, son gland a péri. » En orient j'ai vu un grand nombre de sites en babouches. – En orient, j'ai vu un grand nombre de bites en sa bouche. En pull Lacoste. – Encule la Poste. En se couchant, le valet pense à fermer la lumière. – En se couchant, le valet pense allumer fermière. Encore une tine de pâté ! – Encore une pine de tâtée ! Encouragé par sa femme le bûcheron fendait dix bois par jour. – Encouragé par sa femme, le bûcheron bandait dix fois par jour. Et surtout par son admirable beauté de sites. – Et surtout par son admirable sauté de bites. Elles habitent des gîtes immondes. – Elles agitent des bites immondes. Fer de mine. – Merde fine. Fine appellation. – Pine à fellation. Garçon, où fourre-t-on les billes ? – Garçon, où bourre-t-on les filles ? Ghislaine jouit d'un nom bien coté. – Ghislaine jouit d'un con bien noté. Goûtez-moi cette farce. – Foutez-moi cette garce. Hâtez-vous de me faire la cour avant d'être marié. – Hâtez-vous de me faire l'amour avant d'être carié. Henri a été maculé de boue. – Marie a été enculée debout. Horrible, l'abysse de béton. – Horrible, la bite de Besson. Giscard est rentré d'Afrique avec des diapos plein les manches (Canard enchaîné). – Giscard est rentré d'Afrique avec des diamants plein les poches. Il a laissé tomber sa gomme sur son plan. – Il a laissé tomber sa pomme sur son gland. Il courait tant de buts divers, qu'il en perdait sa belle mine. – Il bourrait tant de culs divers, qu'il emmerdait sa belle pine. Il est arrivé à pied par la Chine. – Il est arriver à chier par la pine. Il est trop bon pour la quitter. – Il est trop con pour la biter. Il étale la pâte sur la bûche – Il étale la pute sur la bâche Il fait beau et chaud – Il fait chaud et beau Il faut être peu pour bien dîner . – Il faut être deux pour bien piner. Il faut qu'il rende, ce vieux bouquin. – Il faut qu'il bande, ce vieux rouquin. Il la mouche parce qu'elle est alitée. – Il la touche car elle est à limer. Il le dit à deux femmes. – Il le fit à deux dames. Il m'a promis son tennis. – Il m'a trop mis son pénis. Il ne faut pas bacler les rites. – Il ne faut pas racler les bites. Il ne faut pas mettre la tête de son lit dans les vitres. – Il ne faut pas mettre la tete de son vit dans les litres. Il n'y a pas que de bons côtés au concours hippique. – Il n'y a pas que de cons bôtés au concours hippique. Il n'y a que la femme du meunier qui soit capable de bâter une mite. – Il n'y a que la femme du meunier qui soit capable de mâter une bite. Il y a deux sortes de gendarmes: les courts et les longs. – Il y a deux sortes de gendarmes: les lourds et les cons. Il y a ici des tentes à foison. – Il y a ici des fentes à toison. Il y a là de jolis sites pour bâtir. – Il y a là de jolies bites pour satires. Il y a du Moka dans l'auto Kabile – Il y a du caca dans l'automobile. Il y a un coteau près du pont. – Il y a un poteau près du con. Il y a une panne de micro dans les pièces du fond – Il y a une pine de maquereau dans les fesses du pion. Ils n'avaient que de vieilles caisses pour ranimer leur feu. – Ils n'avaient que de vieilles fesses pour ranimer leurs queues. Ils en perdit son latin à l'extérieur – Il en perdit son latex à l'intérieur. Il ne faut pas glisser dans la piscine – Il ne faut pas pisser dans la glycine. J'ai admiré de jolis sites en faisant ma balade. – J'ai admiré de jolies bites en faisant ma salade. J'ai le nom de la russe sur le bout de la langue. – J'ai le rond de l'anus au bout de la langue. J'aime à sucer le jonc de ma petite canne. – J'aime à sucer le con de ma petite Jeanne. J'aime le goût de ce petit blanc. – J'aime le bout de ce petit gland. J'ai fait ça afin d'avoir un coin du son – J'ai fait ça afin d'avoir un soin du con. J'approche le cou du but. – J'approche le bout du cul. Jean-Marie Le Pen. (attribué à Jean Cocteau) – En Paris je l'aime ou Jean Marais le pine. Jean-Paul, le pape. – J'empale le Pope. Je donnerais bien ma paie pour avoir votre rubis. – Je donnerais bien ma raie pour avoir votre pubis. Je munirai ta lame d'un beau manche en fer. – Je munirai ta femme d'un beau manche en l'air. Je n'ai pas de rebord à mes épaulettes. – "Je n'ai pas de remords à baiser Paulette." Je n'aime pas le son de votre cœur. – Je n'aime pas le con de votre sœur. Je ne suis pas pressé pour dîner. – Je ne suis pas dressé pour piner. Je suis fasciné par les grues des Causses. – Je suis fasciné par les culs des grosses. Je vous trouve un peu trop nourri pour mon goût. – Je vous trouve un peu nourri pour mon gros trou. Je vous laisse le choix dans la date. – Je vous laisse le doigt dans la chatte. Je vous vois bien en curé avec une calotte. – Je vous vois bien enculé avec une carotte. Jeanne d'Arc avait une cotte de mailles. – Jeanne d'Arc avait une motte de cailles. Joseph a maculé Henri. – Joseph a enculé Marie. Jules Verne. – Nulle verge. La baronne invite le penseur à dîner. – La baronne a invité le danseur à piner. La belle passagère a attrapé des coups sur le pont. – La belle passagère a attrapé des poux sur le con. La berge précède le vide. – La verge précède le bide. La bonne épouse connaît son dû. – La bonne épouse donnait son cul. La bonne ménagère bouche les trous de mites. – La bonne ménagère mouche les trous des bites. La boulangère a une maie qui rouille. – La boulangère a une raie qui mouille. La bureautique est un mythe. – La bite au cul m'est un rite. La canicule n'a rien pour m'emballer. – La cannibale n'a rien pour m'enculer. La cantinière porte une grosse d'œufs au camp. – La cantinière porte une grosse queue aux dents. La Chine se soulève à la vue des Nippons. – La pine se soulève à la vue des nichons. La comtesse apercevait de superbes sites autour de son balcon. – La comtesse apercevait de superbes bites autour de son sale con. La cuisinière a reçu un coup sur son fond. – La cuisinière a reçu un fou sur son con. La cuisinière fait des nouilles auprès de mon feu. – La cuisinière fait des fouilles auprès de mon nœud. La cuisinière s'est aperçue que son mouton bouillait. – ... que son bouton mouillait La cuvette est pleine de bouillon. – *La buvette est pleine de couillon. La dame essuie son fard avec son manteau couvert de loutre. – La dame essuie son lard avec son manteau couvert de foutre. La dévote se contente d'un sort falot. – La dévote se contente d'un fort salop. La femme du capitaine m'a fait mander à bord. – La femme du capitaine m'a fait bander à mort. La femme du charpentier doit se contenter d'un petit feu de poutre. – ... un petit peu de foutre. La femme du chef d'orchestre a fait mander le basson. – ... bander le maçon. La femme du contribuable demande qu'on modifie sa cote. – ... qu'on codifie sa motte. La femme du mineur est ensevelie sous des piliers de mine. – ... sous des milliers de pines. La fermière attrape les bœufs à la course. – ... les queues à la bourse. La fiancée du bijoutier est heureuse d'avoir à sa disposition une mine de perles. – ... une pine de merles. La fillette timide mâchait sa cotte. – ... cachait sa motte. L'Afrique en transe. – La trique en France. La grande galope seule. – La salope grande gueule. La jeune existentialiste se prête au jeu du néant. – ... au nœud du géant. La jeune fille contemple un plant qui vient de la Guinée. – ... un gland qui vient de la piner. La jeune fille toussait en se mouchant. – ... moussait en se touchant. La maison peut également procurer des rillettes en fût. – ... des fillettes en rut. La Miss pousse. – La pisse mousse. La pauvre femme est folle de la messe. – ... molle de la fesse. La petite espiègle me cacha les mouilles. – ... me mâcha les couilles. La philanthropie de l'ouvrier charpentier. – La tripe en folie de l'ouvrier partant chier. La pratique de la contrepèterie consiste en l'art de décaler les sons que l'on débite avec la bouche. – ...consiste en l’art de dessaler les cons que l’on débouche avec la bite. La reine avait une pierre fine à la main. – ... une fière pine à la main. La résistance excite les sections de rapine. – ... l'érection de sa pine. La rosière songe à la mine orgueilleuse du père. – La rosière songe à la pine orgueilleuse du maire. La serge du vicaire avait beaucoup plu à la dame du fiacre. – La verge du sicaire avait beaucoup plus à la femme du diacre. La servante du curé se demande ce qu'il fait entre ses deux messes. – ... ce qu'il met entre ses deux fesses. La servante tire le pis de la vache. – La servante tire le vit de l'apache. La vieille chouette suçait les vers du nid. – ...les nerfs du vit. La vache qui rit. – L'avare qui chie. L'abeille coule. – La belle couille. L'Afrique est bonne hôtesse. – La trique est bonne aux fesses. L'amiral nous brouille l'écoute avec sa panne de micro. – L'amiral nous broute les couilles avec sa pinne de macro. L'antiquaire emporte dans ses caisses le produit de mes fouilles. – L'antiquaire emporte dans ses fesses le produit de mes couilles. L'archéologue met le produit de ses fouilles dans de vieilles caisses. – L'archéologue met le produit de ses couilles dans de vieilles fesses. L'armurier se plaint que ma sœur lui couche les douilles. – L'armurier se plaint que ma sœur lui douche les couilles. L'aspirant habite Javel. – J'avais la bite en spirale. L'arrivée du régiment de Forbach nous a privé d'une bonne partie de messe. – L'arrivée du régiment de Morbac nous a privé d'une bonne partie de fesse. L'art de décaler les sons. – L'art de dessaler les cons L'assureur est fou du malus. – L'assureur est mou du phallus. L'écuyère se plaint que le mouton de sa botte est trop dur. – L'écuyère se plaint que le bouton de sa motte est trop dur. L'Efferalgan – L'effet larguant L'effet Kiss Cool. – Les fesses qui coulent. L'éleveuse, dont la meute évolue, revient de la ferme pleine d'espoir. – L'éleveuse, dont la motte est velue, revient de la foire pleine de sperme. L'épicière ajoute un quart à son dû. – L'épicière ajoute un dard à son cul. L'épicurien se plaît à rechercher les sources du bonheur. – L'épicier se plaît à rechercher les bourses du sonneur. L'épouse déplore que son mari soit mort fou. – ... que son mari soit fort mou. L'ingénieur avait fait poser une valise sur ma berge. – L'ingénieur avait fait poser une balise sur ma verge. L'inspecteur primaire voudrait voir les bons cahiers. – L'inspecteur primaire voudrait voir les cons bailler. L'ouvrière est passive devant la linotype. – L'ouvrière est lascive devant la pinne au type. L'usage d'inoculer du pus de génisse s'est répandu très rapidement. – L'usage d'inoculer du jus de pénis s'est répandu très rapidement. Le bourrelier aime mieux faire la bourre que de travailler le mouton. – Le bourrelier aime mieux faire l'amour que de travailler le bouton. Le bout pendait. – Le pou bandait. Le boutre du sultan coule au confluent de la Garonne. – Le foutre du sultan coule au con gluant de la baronne. Le Caire est noir de monde. – Le con est noir de merde. Le calot était dans le son. – Le salop était dans le con. Le chasseur sous-marin recherche les fonds curieux. – ... Recherchent les cons furieux. Le choix dans la date. – ... Le doigt dans la chatte. Le clerc du notaire ne peut atteindre son but. – Le blaire du notaire ne peut atteindre son cul. Le coche finit toujours par arriver au but. – Le boche finit toujours par arriver au cul. Le coureur a gagné, en se couchant, le but. – Le coureur a gagné en se touchant le cul. Le cuisinier a un canard sur le feu. – Le cuisinier à un cafard sur le nœud. Le cuisinier met du cœur à ses bouillons. – Le cuisinier met du beurre à ses couillons. Le curé est devenu fou entre deux messes. – Le curé est devenu mou entre deux fesses. Le douanier a visité les caisses de l'exploratrice jusqu'au fond. – Le douanier a visité les fesses de l'exploratrice jusqu'au con. Le fard plaît aux dames. – Le dard plaît aux femmes. Le fiancé expose son vœu : un joli nid. – Le fiancé expose son nœud : un joli vit. Le grand nombre des monts empêche de les compter. – Le grand nombre de cons empêche de les monter. Le gros entrepreneur pétrit le béton à la tonne. – Le gros entrepreneur pétrit le téton à la bonne. Le jardinier bine avec sa pelle. – Le jardinier pine avec sa belle. Le jeune homme qui vissait son lit. – Le jeune homme qui lissait son vit. Le joueur adroit sait enfoncer la quille au but. – Le joueur adroit sait enfoncer la bille au cul. Le légionnaire m'a passé le mot. – Le légionnaire m'a massé le pot. Le magasinier a touché un bon de cretonne. – Le magasinier a touché un con de bretonne. Le maniement réitéré des fonds multiplie les mouvements de caisse. – Le maniement réitéré des cons multiplie les mouvements de fesses. Le mercanti vendait assis sur une berge. – Le mercanti bandait assis sur une verge. Le mineur au pâle visage tire sa houille de bon cœur. – Le pineur au mâle visage tire sa couille de bonheur. Le ministre du commerce trouve que toutes les baisses sont faisables. – Le ministre du commerce trouve que toutes les fesses sont baisables. Le ministre italien est tombé à la crise des Pouilles. – Le ministre italien est tombé à la prise des couilles. Le Ministre Tron prend mal l'élan. – Le ministre lent prend mal l'étron. Le mitrailleur a épuisé ses douilles sur un crapaud. – Le mitrailleur a épuisé ses couilles sur un drapeau. Le mitron coffre le son de la boulangère. – Le mitron s'offre le con de la boulangère. Le nom de Cana a un attrait mystique. – Ce con de Mana a un attrait mystique. Le paysan avait fourré son coutre dans un vieux fût. – Le paysan avait fourré son foutre dans un vieux cul. Le pirate ramène à son port une cargaison de butin. – Le pirate ramène à son bord une cargaison de putains. Le plan De Gaulle a fait saigner le cœur de Massu. – Le gland de Paul a fait saigner le cul de ma sœur. Le plongeur a exploré le fond de la Creuse. – Le plongeur a exploré le con de l'affreuse. Le pont de la Belle Eugénie est plein de curés. – Le con de la Belle Eugénie est plein de purées. Le sabotier offrit une paire de galoches à sa bru. – Le sabotier offrit une paire de baloches à sa grue. Le sang d'Étaix. – Le sexe détend. Le Sénégalais a emporté le quart et les douilles de l'Arabe comme souvenir. – Le Sénégalais a emporté le dard et les couilles de l'Arabe comme souvenir. Le speaker nous brouille l'écoute avec sa panne de micro. – Le speaker nous broute les couilles avec sa pinne de macro. Le tapissier agite son pinceau dans le fond de la colle. – Le tapissier agite son pinceau dans le con de la folle. Le tennis de Noah est prévisible. – Le pénis de Noah est très visible. Le tonnelier a une curieuse manière de défoncer les vieux fûts. – Le tonnelier a une furieuse manière de défoncer les vieux culs. Le touriste admire l'écusson de la Suisse. – Le touriste admire les suçons de la cuisse. Le tout de mon cru (titre de recueil resté longtemps imaginaire, publié par Jacques Antel) – Le trou de mon cul. Le tout est confus. – Le con est touffu. Le vent siffle dans la rue du quai. – Le vit s'enfle dans la raie du cul. Le vieil artisan tisse en plusieurs passes. – Le vieil artisan pisse en plusieurs tasses. Le vieux marcheur admire les fortifications de Metz. – Le vieux marcheur admire les mortifications de fesses. Le vieux marcheur veut courir sur le mont. – Le vieux marcheur veut mourir sur le con. Le vieux monsieur parle d'un ton couvert. – Le vieux monsieur parler d'un con tout vert. Le vieux passeur a la mine fatiguée. – Le vieux masseur a la pinne fatiguée. Les bas-quartiers de Paris sont minables. – Les bas-quartiers de Marie sont pinables. Les berges sont à vous. – Les verges sont à bout. Les bons éleveurs caressent affectueusement le cou de leurs bœufs. – ... le bout de leurs queues. Les bons italiens sont en caisse. – Les cons italiens sont en baisse. Les disciples d'Einstein voient le monde conique. – ... voient le con de Monique. Les discours de Bush sont longs et cassants. – Les discours de Bush sont cons et lassants. Les dockers ont de beaux cars. – Les cockers ont de beaux dards. Les écoliers chahutent la maîtresse laissant faire. – ... en fessant l'air. Les enfants vont près du feu pour faire briller leurs galoches. – Les enfants vont près du feu pour faire griller leurs baloches. Les femmes au maître du sérail : « C'est votre mine qui nous peine ». – C'est votre pinne qui nous mène. Les femmes n'apprécient pas le marc trop doux. – Les femmes n'apprécient pas le dard trop mou. Les fillettes jouent avec les pioches des mineurs. – ... les mioches des pineurs. Les gites secouent la passagère qui crie et bascule. – Les bites secouent la passagère qui crie, éjacule. Les informaticiennes ont l'habitude de compiler le C. – Les informaticiennes ont l'habitude de s'épiler le con. Les Italiennes choisissent des quines à la Loterie des Pouilles. – Les Italiennes choisissent des pinnes à la Loterie des couilles. Les jeunes filles romanesques adorent les nids à verdure. – Les jeunes filles romanesques adorent les vit à nerf dur. Les jeunes femmes revenaient de la ferme pleines d'espoir jusqu'au pont du Jura. – Les jeunes femmes revenaient de la foire pleines de sperme jusqu'au ras du jupon. Les laborieuses populations du Cap. – Les laborieuses copulations du Pape. Les lutins pêchent les maquereaux. – Les putains lèchent les macros. Les mécaniciens ont appris depuis longtemps à se méfier des douilles coûteuses et des fausses graisses. – Les mécaniciens ont appris depuis longtemps à se méfier des couilles douteuses et des grosses fesses. Les mutins passent la berge du ravin. – Les putains massent la verge du rabbin. Les nouilles cuisent au jus de cane. – Les couilles nuisent au cul de Jeanne. Les nouilles ramollissent dans le corps. – Les couilles ramollissent dans le Nord. Les pensionnaires se battaient autour des turnes. – Les pensionnaires se tâtaient autour des burnes. Les ponts de Cologne sont immenses. – Les cons de Pologne sont immenses. Les présentes élections. – Les plaisantes érections. Les pures luttes vident nos terres. – Les turluttes vident nos pères. Les psys ne protègent plus arrières de leurs déments. – Les psys ne protègent plus des derrières de leurs amants. Les sites et les berges retrouvées – Les bites et les verges retroussées Les quilles sont rangées en cercle autour d'un vieux fût. – Les filles sont rangées en cercle autour d'un vieux cul. Les rédacteurs entrent en lutte dans les belles rubriques. – Les rédacteurs entrent en rut dans les belles lubriques. Les saleurs couchent le thon avant de l'ouvrir . – Les saleurs touchent le con avant de l'ouvrir. Les touristes ont attrapé des coups dans les Pouilles. – Les touristes ont attrapé des poux dans les couilles. Les trafiquants ont passé des peaux de lutin à Buenos-Aires. – Les trafiquants ont passé des lots de putains à Buenos-Aires. Les vertes graines. – Les verges traînent. Ma cousine joue au tennis en pension. – Ma cousine joue au pénis en tension. Ma dactylo n'a que faire de votre porte-mine – Ma dactylo n’a que faire de votre morte pine. Ma femme se plaint qu'il n'y ait pas assez de sites dans la Beauce. – Ma femme se plaint qu'il n'y ait pas assez de bites dans la sauce. Madame, votre caniche sent le moka. – Madame, votre moniche sent le caca. Madame, votre menthe a un goût de fiel ! – Madame, votre fente a un goût de miel ! Mademoiselle, laissez-moi vérifier la cote du mont. – Mademoiselle, laissez-moi vérifier la motte du con. Mademoiselle, vous n'avez que vos petits pois pour dîner ? – Mademoiselle, vous n’avez que vos petits doigts pour piner ? MAM a vérifié les quilles de trente sous-marins en tenant des propos calés sur les sonars. – MAM a vérifié les couilles de trente-six marins en tenant des propos salés sur les connards. Marquise, votre balcon saille dangereusement. – Marquise, votre sale con baille dangereusement. Ménagez votre course, n'abusez pas des bonds. – "Ménager votre bourse, n'abusez pas des cons. Merkel a pris un petit bouillon puis un gros crack : DSK l'apaise et l'emballe. – Merkel a pris un petit couillon puis un gros braque : DSK la baise et l'empale. Merkel m'aide. – Mais quel merde. Métropolitain. – Pétain mollit trop. Mets ta casquette ! – Masse ta quéquette ! Monsieur, vous avez du feutre sur votre cou ! – Monsieur, vous avez du foutre sur votre queue ! Mots fléchés. – Faut m'lécher. Nadal poupon déballait ses raquettes. – Nadal, pas con, déballait ses roupettes. Nos vœux ! – Vos nœuds ! Nous habitions des gîtes infâmes quai Branly. (dans Le père Noël est une ordure). – Nous agitions des bites infâmes qui branlaient. Nous on vit aux champs. – Nous on chie au vent. Nous voyons bien ce que ces fouilles nous coûtent ! – Nous voyons bien ce que ces couilles nous foutent. On compte souvent plusieurs courses pour un seul but. – On compte souvent plusieurs bourses pour un seul cul. On dîne mieux quand on est peu. – On pine mieux quand on est deux. On dort peu à l'hôtel du Bon Coucher. – On dort peu à l'hôtel du Con Bouché. On n'est jamais assez fort pour ce calcul. – On n'éjacule jamais assez fort pour se calmer. On peut s'orienter à la faveur d'une sente. – On peut s'orienter à la saveur d'une fente. On se passe facilement de lutins. – On se lasse facilement de putains. Ôte ta lampe que je guette. – Ôte ta langue que je pète. Où avez-vous péché ces lubies ? – Avez-vous léché ces pubis ? Ovide exilé rencontra le bonheur au milieu des sites. – Ovide exilé rencontra le sonneur au milieu des bites. Paquet de son(s) – Passé de con Parachute. – Char à putes. Par ce temps orageux, toutes les mites sont au bout. – Par ce temps orageux, toutes les bites sont au mout. Paris Gare de Lyon – Gary part de Lyon Pascal Obispo – Pablo Picasso Pas de bonne chasse sans solides pieds ! – Pas de bonne chiasse dans solides pets ! Pas même un quart de durée – Pas même un dard de curé Pâte à choux – Chatte à poux Pénal à Nice : Estrosi fait peindre ses deux logettes. – Pénis anal : Estrosi fait geindre ses deux lopettes. Pépé aime faire des mimes . – Mémé aime faire des pipes Peureuse Line. – L'heureuse pine. Plus elles mentent, plus elles souillent. – Plus elles sentent, plus elles mouillent. Porte-mine – morte pine Pour atteindre le trou du fût, il faut écarter les caisses. – Pour atteindre le trou du cul, il faut écarter les fesses. Pour démolir ce pignon il faudrait une bien grosse mine. – Pour démolir ce mignon il faudrait une bien grosse pine. Pour entrer aux Carmélites il faut savoir utiliser le mot de guichet. – ... il faut savoir utiliser le guodemichet. Pour parvenir au but il faut beaucoup de courage. – Pour parvenir au cul il faut beaucoup de bourrage. Pouvez-vous faire mander les basochiens ? – Pouvez-vous faire bander les chiens masos ? Quand ils sèchent les linges, ils mouillent les cordes. – Quand ils lèchent les singes, ils mordent les couilles. Quel bonheur pour la princesse que la dotation du roi. – Quel bonheur pour la princesse que la rotation du doigt. Quel beau métier professeur ! – Quel beau fessier prometteur Quel gain de place ! – Quel pain de glace ! Quelle bouille ! – Belle couille ! Qu'elle cesse Linux ! (Torvalds) – Quel sexe Linus ! Quelle drôle de bille tu faisais. – Quelle drôle de fille tu baisait Qu'on vide ce muid sans qu'on m'en perde ! – Qu'on vide ce puits sans qu'on m'emmerde ! Ratatouille. – Tata rouille. Rien ne vaut un bon coup de marc après la dînette. – Rien ne vaut un bon coup de dard après la minette Rue de la Paix – Pue de la raie Sagesse est source de foi. – Sa fesse est source de joie. Saint-Nectaire. – Nain sectaire. Salut Beauté ! – Salaud buté ! Salut Farid ! – Phallus aride ! Salut Fred ! – Phallus raide ! Salut les copains ! – Ça pue les colins ! Salut les potes ! – Ça pue les lottes ! Salut Nicole ! – L'anus y colle ! Salut ma poule ! – Ça pue la moule ! Salut Patrick ! – Ça pue la trique ! Sans fin ni cesse. – Sans sein ni fesse. Si cette belle Line est déjà passée, que vais-je devenir ? – Si cette belle pine est déjà lassée, que vais-je devenir ? Son parrain a une belle mine. – Son marin a une belle pine. Sudoku. – Cul au Sud. Superman a une bouille incroyable – Superman a une couille inbroyable. (mais on l'écrit "imbroyable") Sarko fait pécher sa Roselyne et l'impayable Bachelier a chaud. Il la mouche parce qu'elle est alitée. – Sarko fait lécher sa rose pine et l'impayable Bachelot a chié. Il la touche car elle est à limer. Seize heures de bagnole. – Baiseur de Sagnol. Tacite se promène en babouches. – Ta bite se promène en sa bouche. Tant de flaques à Crimée. – Tant de fric acclamé, tant de flics à cramer, tant de claques à frimer Taisez-vous en bas. – Baisez-vous en tas. Tendez votre lit en vert. – tendez votre vit en l'air Tout de mon cru. – Trou de mon cul. Tout sauf les mois d'été. – Mettez tout sauf les doigts. Tu portes ton tennis. – Tu tords ton pénis. Un dernier calcul et on s'en va. – Un dernier calva et on s'encule. Une escalope avec une petite salade. – Une escalade avec une petite salope. Une escalope sur une petite salade. – Une escalade sur une petite salope. Une belle thèse. – Une telle baise. Une fille honnête ne permet à personne de fouiller dans sa mente. – Une fille honnête ne permet à personne de mouiller dans sa fente Une mine de chapeau. – Une pine de chameau. Un tennis de Pro. – Un pénis de trop. Vie des champs. – Chie des vents Vilain, tu voudrais que je te mouche ! – Vilain, tu voudrais que je me touche Voici un bon à toucher en arrivant au Cateau. – Voici un con à toucher en arrivant au bateau Vos colliers font chics. – Vos coliques font chier. Votre Cannes sent le coca près du Palais des dîneurs. – Votre conne sent le caca près des pâleurs du dîner (ou encore : Votre conne sent le caca du pet d'après les dîneurs). Votre don me paraît fort coûteux. – Votre con me paraît fort douteux Votre tennis est bien propagé. – Votre pénis est bien trop âgé Votre père a l'air mutin. – Votre mère à l'air putain. Votre serre est exotique. – Votre sexe est érotique. Vous avez encore mussé le citron. – Vous avez encore sucé le mitron. Vous êtes bien bon d'être resté si longtemps à Candé. – Vous êtes bien con d'être resté si longtemps à bander Voyez la jolie brique que m'a donnée une telle. – Voyez la jolie trique que m'a donnée une belle Voyez sur ce pont ce caméléon. – Voyez sur ce con se pâmer Léon